Nouveautés (ou pas) ENFIP 2019 pour les contrôleurs ?

newtiti37 écrit:

Médéric écrit:

Gabriel-31 écrit:
C'est pas parce qu'il y a plus de places qu'un "faux externe" ne prend pas la place d'une personne réellement externe. Les règles ne sont pas techniquement biaisées mais l'esprit du concours oui. Et les raisons qui sont évoquées c'est surtout parce que ça vous arrange de le passer en externe personnellement (nature des épreuves, passer contrôleur sans attendre l'ancienneté nécessaire pour passer en interne, le nombre de places...).

Et alors le mépris sur les externes qui ne connaissent pas la DGFiP... D'une part, plusieurs ont travaillé avant et souvent dans une administration publique; D'autre part, on est formé un an, quand même. Les externes permettent aussi d'avoir une vision différente et sûrement plus ouverte vu ce que je lis.

Concours externe ou interne : tant que les conditions pour y concourir sont respectées, tous les candidats sont légitimes (externes, faux externes, internes, faux internes).
Pour les écrits du concours externe, le fait d'être un faux externe ne constitue pas un avantage quelconque par rapport à un vrai externe bac + 5 en droit ou autre.
Pour l'oral, le degré d'exigence ne sera également pas le même : des faux externes ont été recalés sèchement tout comme des vrais externes.

A lire certains commentaires, ce serait "biaiser" que de rentrer en catégorie C en étant vrai externe, puis de passer dans la foulée le concours B et/ou A en tant que faux externe.
D'une part, les règles pour concourir le permettent ; d'autre part, il y a un engagement de servir l’État pour une durée minimum pour les lauréats B et A, ce qui n'est pas le cas lorsqu'on rentre agent C : ce peut être un moyen de vérifier que travailler à la DGFiP correspond à nos attentes.

A l'oral d'agent en janvier 2018, en tant que pur externe, j'ai clairement dit que je passerai le concours de contrôleur l'année suivante ; que je ne l'avais pas fait alors car j'étais également en reprise d'études en BTS en alternance, et que je préférais faire les choses dans l'ordre : obtenir mon diplôme et acter ma reconversion durablement en intégrant la DGFiP. J'ai eu 15/20 à l'oral.

A l'oral de contrôleur en février 2019, en tant que faux externe, j'ai dit que j'étais dans la continuité de ma reconversion, que je voulais gagner en responsabilités et en compétences, et à terme accéder au grade d'inspecteur. Je leur ai dis que j'étais convaincu de mon choix, et conscient de l'engagement à servir l’État après le concours B pour une durée minimale. J'ai eu 16/20 à l'oral.

Vrai externe ou Faux externe, à mon avis le vrai avantage est d'être clair dans sa tête, de savoir d'où on vient et ce que l'on souhaite faire (d'où l'importance de la présentation).[/quot
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Tant que les conditions de concourir le permette (et avant que cela ne change aussi!) rien, effectivement, rien n'empêche un faux externe de concourir (actuellement) en externe ce n'est donc pas de la concurrence déloyale par rapport à certains candidats vrai externe qui comme j'ai lu dans un précédent message viennent parfois parce que il y a de la lumière et du chauffage..

Mad écrit: Olive773 et Mederic, je pense qu’on est beaucoup à penser pareil. Les faux externes qui passent le concours externe ne devraient pas être avantagés par rapport aux externes. C’est d’ailleurs plus désavantager les vrais externes qu’autre chose. Comme le dis Alan 29, peut être qu’avec cette réforme, les internes le passeront beaucoup plus en interne et les externes en externe ou même mieux, les faux externes avec les MEME règles d’affectation que les externes. Les faux externes ne voient que leur ancienneté a la DGFip, mais faut rappeler que les vrai externes pendant qu’il se préparent pour le concours, ont un travail et ont une vie de famille. En quoi cela serat il juste que les internes qui le passent en externe soient avantagé ? Sur le cas du concours EXTERNE, je pense que seul le classement doit primé pour les affectations, pas même la situation familiale… Et pour ceux qui ont pour seul argument qu’il faut attendre 4 ans ou qu’il n’y pas assez de place en interne, c’est la dessus que les OS doivent aussi se battre pour changer la proportion et/ou la répartition du nombre de places offertes…

Oliv773 écrit:

newtiti37 écrit:

Médéric écrit:

Gabriel-31 écrit:
C'est pas parce qu'il y a plus de places qu'un "faux externe" ne prend pas la place d'une personne réellement externe. Les règles ne sont pas techniquement biaisées mais l'esprit du concours oui. Et les raisons qui sont évoquées c'est surtout parce que ça vous arrange de le passer en externe personnellement (nature des épreuves, passer contrôleur sans attendre l'ancienneté nécessaire pour passer en interne, le nombre de places...).

Et alors le mépris sur les externes qui ne connaissent pas la DGFiP... D'une part, plusieurs ont travaillé avant et souvent dans une administration publique; D'autre part, on est formé un an, quand même. Les externes permettent aussi d'avoir une vision différente et sûrement plus ouverte vu ce que je lis.

Concours externe ou interne : tant que les conditions pour y concourir sont respectées, tous les candidats sont légitimes (externes, faux externes, internes, faux internes).
Pour les écrits du concours externe, le fait d'être un faux externe ne constitue pas un avantage quelconque par rapport à un vrai externe.
Pour l'oral, le degré d'exigence ne sera également pas le même : des faux externes ont été recalés sèchement tout comme des vrais externes. Si le candidat ne sait expliquer les raisons de sa présence au concours et justifier de ses motivations, il y a de grandes chances qu'il soit recalé à l'oral, externe ou faux externe.

A lire certains commentaires, ce serait "biaiser" que de rentrer en catégorie C en étant vrai externe, puis de passer dans la foulée le concours B et/ou A en tant que faux externe.
D'une part, les règles pour concourir le permettent ; d'autre part, il y a un engagement de servir l’État pour une durée minimum pour les lauréats B et A, ce qui n'est pas le cas lorsqu'on rentre agent C : ce peut être un moyen de vérifier que travailler à la DGFiP correspond à nos attentes.

Vrai externe ou Faux externe, à mon avis le vrai avantage est d'être clair dans sa tête, de savoir d'où on vient et ce que l'on souhaite faire (d'où l'importance de la présentation).

200% d'accord.
Sauf que le problème n'est pas de savoir si c'est ou non légitime de passer en faux externe,on s'accorde tous à le dire que ça l'est.
C'est de vouloir le beurre et l'argent du beurre ensuite

Juridiquement, lorsqu'on rempli les conditions, la légitimité est acquise au moins partiellement. Les motivations du candidat et l'adéquation avec les objectifs du concours (recrutement interne, externe...) importent de mon point de vue pour compléter cette légitimité.

Il n'était pas juste pour des externes de voir l'ancienneté administrative primer sur le classement en ce que cette ancienneté était davantage présente pour les "faux externes".

grecos écrit: Tant que les conditions de concourir le permette (et avant que cela ne change aussi!) rien, effectivement, rien n'empêche un faux externe de concourir (actuellement) en externe ce n'est donc pas de la concurrence déloyale par rapport à certains candidats vrai externe qui comme j'ai lu dans un précédent message viennent parfois parce que il y a de la lumière et du chauffage..