Préparation à l'oral de janvier 2015

La loi est précise et INTERDIT formellement toutes formes de cadeaux de remerciements.

Seules les félicitations orales sont acceptables.

(Et ceci est valable pour toute la fonction publique).

Désolé...

Et si je réponds : "je les refuse...Le chocolat me donne des crises de foie !!!" :jesors:

Merci beaucoup de vos réponses, les deux se défendent, mais si JPA est de la maison, vaut peut être mieux suivre son conseil...

Il suffit de répondre:
-"J'apprécie beaucoup votre délicate attention, mais je dois refuser. La loi me l'interdis".

Le risque étant qu'en acceptant les chocolats de la gentille Mamie elle revienne avec sa nombreuse famille, ses amies, ses voisins, ses commerçants qui exigerons des passes droits en échange d'autres chocolats.
Et après difficile de refuser aux autres ce que vous lui aurez accordé.......
CQFD.

Vu ma personnalité, si je réponds juste : Non je ne les prends pas, je décline poliment, le jury va croire que je lui mens.

Je vais devoir faire une réponse plus travaillée même si on arrive à la même chose à la fin.

Par exemple :
C''est vrai qu'en cette période de fêtes les petits cadeaux sont nombreux et dans mon métier actuel (ouvrier du bâtiment) je les accepte avec plaisir.
Néanmoins en devenant fonctionnaire je ne pourrais plus accepter. En effet cela pourrait être blablabla.

Biz

Theslug écrit: Tu as trouvé une bonne réponse. Tu peux accepter si tu peux partager avec tes collègues, sinon niet.
Bien entendu si on te propose 15 000€ ou 500g de coke à partager, tu refuses.

Le jour de l'oral, tu refuses absolument tous les cadeaux qui te sont faits. Tu reçois un traitement de la part de l'Etat, tu n'as pas à accepter une "compensation" quelle qu'elle soit de la part des contribuables pour avoir fait ton boulot.

Maintenant pour être clair, officieusement, quand ça se passe, l'agent fait partager la boite de chocolat/bonbons (tant que ça en reste à ce genre de trucs, l'argent ça ne passe pas, l'invit' au resto non plus, etc) avec le reste du service, mais dans les faits il y en a aussi qui refusent.