Préparation de l'oral

@s0splash

En effet, je suis déjà en poste.
Je te remercie de ces MES.
Bellevallee donne bien le cadre légal d'usage des armes. Après il est le même pour toutes les forces de sécurité intérieure.
Dans cette MES, en effet il y a légitime défense car tu te fais foncer dessus, un agent et blessé et le camion prend la fuite en risquant de commettre d'autres mes faits.
Après il faut avoir à l'esprit que c'est la santé du collègue renversé qui compte. Et je t'avoue qu'une balle de 9 mm contre un camion ben le camion gagne. Et il y a le contexte extérieur de part sa géographie environnementale aussi.

Après un petit moment d'absence, merci de ta réponse @Bellevallée ! J'ai loupé l'article concernant la douane, sûrement endormi ce soir-là...

@ced34 : merci également de ta réponse, je comprends mieux maintenant le "pourquoi ne pas tirer ?".

Vu que personne n'ose se lancer dans le débat des MES, je me lance avec la question 1 (peut-être que ça motivera des personnes par la suite ) : Une collègue arrive bourrée, que faites vous ?

Et bien cela dépend si la collègue est coopérative ou non. Dans tous les cas, je pense qu'il y a un règlement intérieur avec une procédure à suivre dans les 2 cas de figure (chose que je ne connais pas actuellement).

Coucou,

alors dans un cas pareil, je parle directement à le/la collègue en question en lui proposant de rentrer chez elle si elle ne se sent pas en état tout simplement car pour moi rien de tel que la communication.

Si elle ne m'écoute pas 'en parle à un supérieur hiérarchique direct en lui disant que le/la collègue semble ne pas aller bien voir est bourré.

Qu'en pensez vous?

untype écrit: Coucou,

alors dans un cas pareil, je parle directement à le/la collègue en question en lui proposant de rentrer chez elle si elle ne se sent pas en état tout simplement car pour moi rien de tel que la communication.

Si elle ne m'écoute pas 'en parle à un supérieur hiérarchique direct en lui disant que le/la collègue semble ne pas aller bien voir est bourré.

Qu'en pensez vous?

J'ai également pensé à cette réponse. C'est certain qu'il faut toujours privilégier le dialogue même si ce n'est pas facile parfois... Ce que je n'ai pas aimé avec cette réponse c'est ce qui pourrait suivre : si le collègue bourré est votre supérieur hiérarchique ou si ce dernier est absent, que faites-vous ?

Aujourd'hui, je vous propose ces deux MES :

Selon vous, les douanes doivent être rentables ?
Quelle est la différence entre le secret professionnel et la discrétion professionnelle ?