Admissibilité Contrôleur DGFIP 2020-2021 économie

Geoffrey écrit: Salut à tous,

J'aurais largement pu faire mieux sur le premier graphique, et j'ai fais l'erreur de dire que l'élasticité se comprend entre 0 et 1 ce qui est faux.
Ensuite le graphique 2 était tellement bidon que je n'ai pas su quoi dire de ouf.
La question 1, avec l'utilité marginale d'une bien...j'ai même pas répondu.
La question 2 Qu'est ce que la croissance endogène, j'ai répondu à côté.
Mais la dissertation, je l'ai présenté ainsi :

Introduction comprenant ;
accroche d'actualité,
reformulation des mots épargne et croissance,
problématique
présentation du plan

grand 1 : Les effets de l'épargne
grand 2 : Les causes de la croissances
grand 3 : Les liens entre effets de l'épargne et causse de croissance.

Conclusion.


Je ne pense sincèrement pas avoir fait suffisament bien pour cette année. Mais je n'ai pas beaucoup révisé, alors je n'ai pas le droit de me plaindre.
A l'année prochaine.

Pour l'utilité marginal d'un bien j'ai répondu en bordant c'est vraiment très bancale mon explication... On verra. Et pour la question 2 j'ai aussi brodé avec la croissance
extensive et la croissance intensive avec l'innovation.

En ce qui concerne le graphique j'ai fait une ouverture de sujet... C'est la première fois que je passe cette épreuve avec une description de graphique donc j'ignore si l'ouverture de sujet était indiquée:
J'ai parlé des disparités entre les pays de l'UE concernant le niveau de développement et de richesse qui était peut-être à l'origine de la difficulte à mener une réelle politique commune et coordonnée et à créer un véritable fédéralisme entre les pays européens

ModernBard écrit: Personnellement, j'ai tout foiré, donc j'aurais 4/20.

rdv l'an prochain pour moi.

Aïe... Tu ne peux pas encore savoir ta Note. Aies confiance. Apparemment le sujet de cette année n'a pas inspiré grand monde sauf pour GEOFFREY je trouve son plan très intéressant.

Bref on ignore encore nos notes malheureusement. J'ai trouvé les annales des deux dernières années beaucoup plus intéressants !

Oui, je pense que concrètement, on n'a pas d'autres choix que d'attendre. Je me dis qu'il est assez difficile d'être dans la tête des correcteurs car on ne connaît pas le barème officiel, et en plus si ça se trouve on a sorti des trucs que le correcteur va apprécier mais qu'on ne se rend pas forcément compte !
Personnellement tant que ça me permet d'accéder à l'oral pour tout donner à ce dernier, ça me va...

Plan de la dissert :

I. L’épargne : catalyseur de croissance
A. Une composante du financement de l’économie
B. Une assurance pour l’avenir

II. L’épargne : un risque potentiel pour nos économies
A. Un risque d’endormissement économique
B. Un risque déflationniste

Bonsoir
Alors à chaud voilà en gros ma partie dissertation.

J'ai un peu fait la même analyse que toi mais je ne suis pas pointue en économie :
I. L'épargne, comme moteur de la croissance économique
Car sans l'épargne des uns il ne pourrait y avoir l'investissement des autres et donc la croissance. L'investissement peut être issu de l'épargne ou de l'emprunt. Avec dans ce grand I une partie davantage consacrée à l'entreprise et une pour les ménages. L'épargne pour une consommation future. Épargner pour achat d'une voiture, un logement qui sera complétée par un emprunt.

II L'épargne, comme frein à la croissance économique
Pareil avec niveau ménages niveau entreprises. Avec Keynes et la propension marginale à consommer des ménages modestes et non à épargner car l'épargne peut être considérée comme de l'argent qui dort et qui n'est pas investi dans économie. J'ai ajouté que l'épargne dans le sens où elle est une épargne de peur de l'avenir, peur du chômage, de la conjoncture comme actuellement est une épargne qui freine l'économie et est négative et que l'Etat a tout intérêt à redonner confiance en l'avenir, à apporter des aides, à reporter des charges des entreprises etc afin que les agents économiques utilisent leur épargne. Au niveau des entreprises le fait de ne pas investir l'épargne fait qu'il n'y a pas de progrès technique, d'embauche, de gain de productivité car ils sont dans l'attente de l'évolution de la conjoncture et dans l'attente on est statique.

En conclusion, il faut un juste équilibre d'épargne pour que la croissance conserve une certaine dynamique et que l'argent ne dorme pas, même si l'on sait bien que l'argent même épargnée n'est pas de l'argent qui dort puisque utilisé dans le système bancaire et réinjecté quelque part.

Désolée pour le pavé, mais j'ai essayé de retranscrire à chaud les idées de ma dissertation en espérant ne pas avoir raconté trop de bêtises, n'ayant pas de formation en économie.