Appréciation générale du jury des oraux 2018

4.4 Appréciation générale du jury


La grande majorité des candidats dispose d'une expression orale de qualité malgré
un stress apparent, et ils font preuve d'une réelle motivation.
Les présentations sont majoritairement préparées et réalisées dans le délai imparti.
Les candidats réagissent avec bon sens face aux situations proposées, mais ont
souvent des difficultés à se positionner en tant que cadre intermédiaire.
Les connaissances de l'environnement économique et financier sont jugées
insuffisantes. Les candidats manquent de curiosité sur ce sujet ; les connaissances
de la DGFiP sont elles aussi trop limitées. Les diverses missions et l'actualité de la
DGFiP sont méconnues, notamment pour les « faux-externes » qui ne s'intéressent
pas aux autres métiers exercés dans les services.
Les réactions face aux mises en situation sont disparates. Si un certain nombre de
candidats réagissent avec bon sens et pragmatisme, encore beaucoup d'entre eux
ont du mal à se positionner en tant qu'encadrant intermédiaire, et se contentent dans
leurs réponses de rendre compte auprès de leur hiérarchie sans proposer de
solutions.
Toutefois, les réactions face aux mises en situation concernant les relations avec le
public et la déontologie sont bien maîtrisées.
Les candidats qui se sont démarqués sont ceux qui ont su mettre en avant leurs
points forts, en faisant preuve de réflexion et de structuration dans leurs réponses ;
leurs développements sont raisonnés et argumentés.
En conclusion, la réussite au concours de contrôleur des Finances publiques justifie
un réel investissement de la part des candidats.
Celui-ci doit prendre la forme d'une réelle détermination et d’un véritable intérêt à
exercer ce métier au sein de la DGFiP. Plus particulièrement, il nécessite un
entraînement à l'épreuve orale et un réel travail sur soi-même pour éviter des
situations de stress trop souvent constatées et pénalisantes pour les candidats,
malgré des écrits de plutôt bonne qualité.
Aussi, les candidats sont invités à bien se préparer à l'ensemble de ces épreuves
avec sérieux et avec une réelle motivation.
Pour cela, ils doivent d'une part s'attacher à bien connaître l'environnement
économique et financier qui nous entoure et d'autre part, faire preuve d'une certaine
curiosité des différentes missions qu'ils auront à la DGFIP

lisap écrit: Les connaissances de l'environnement économique et financier sont jugées
insuffisantes. Les candidats manquent de curiosité sur ce sujet ; les connaissances
de la DGFiP sont elles aussi trop limitées. Les diverses missions et l'actualité de la
DGFiP sont méconnues, notamment pour les « faux-externes » qui ne s'intéressent
pas aux autres métiers exercés dans les services.
Les réactions face aux mises en situation sont disparates. Si un certain nombre de
candidats réagissent avec bon sens et pragmatisme, encore beaucoup d'entre eux
ont du mal à se positionner en tant qu'encadrant intermédiaire, et se contentent dans
leurs réponses de rendre compte auprès de leur hiérarchie sans proposer de
solutions.

Les candidats qui se sont démarqués sont ceux qui ont su mettre en avant leurs
points forts, en faisant preuve de réflexion et de structuration dans leurs réponses ;
leurs développements sont raisonnés et argumentés.

Pour cela, ils doivent d'une part s'attacher à bien connaître l'environnement
économique et financier qui nous entoure et d'autre part, faire preuve d'une certaine
curiosité des différentes missions qu'ils auront à la DGFIP

Ces phrases on les trouve dans la plupart des rapports du jury, indifféremment de la categorie de concours.

Bonjour,

Je n'ai lu que ce rapport. Je l'ai trouvé intéressant ça m'a bien aidé. Du coup je l'ai publié ici.
Tu as lu d'autres informations dans les rapports?

J'avais lu les rapports pour les 3 catégories. Chaque année il y des appréciations qui changent, mais ce que j'avais souligné revenait souvent dans tous les rapports: faire preuve de curiosité intellectuelle et s'intéresser à l'actualité et à la Dgfip.

Franchement j'ai beaucoup à rattraper au niveau de l'actualité... Je n'ai jamais été férue des nouvelles qu'ils ne sont pas avérées,qui tiennent sur des suppositions.
Les médias essaient de se vendre, et pour cela il déforme la réalité je trouve.
Du coup je me suis désintéressée à eux.. et là ben je le regrette un peu .. Parce que pour rattraper 1 an d'actualité c'est pas gagné disons le clairement.
Mais j'ai compris grâce à la prépa qu'on pouvait s'informer autrement qu'avec des médias, notamment les sites du gouvernement et du parlement.
Et c'est beaucoup intéressant et fiable. Mais bon quelques regrets quand même parce que je me sens un peu bête d'ignorer certaines choses importantes, graves et d'actualités..
Mais bon je me pardonne hein, les regrets vont pas aider !! :dry: