Concours Externe Contrôleur des Finances Publiques 2020 (Partie 4)

Qu'est ce qui a un avantage quelconque ?
Je rappelle juste à ceux qui s'opposent au fait que les faux externes passent le concours, que s'ils sont admis cette année, ils seront peut être tentés dans un ou deux ans de passer les concours de catégorie supérieure et de ne pas le perdre de vue.
quote="Titi31200" post=157693]ok merci mais ça a un avantage quelconque ?[/quote]

d'être un faux externe ?

Titi31200 écrit: d'être un faux externe ?

Oui d'être un agent ou contrôleur de la DGFIP et de passer le concours de la catégorie au-dessus sans avoir l'ancienneté administrative requise pour le passer à titre interne.

"Faux externe" ou non, cela constitue l'expérience et les compétences de chacun.

Tout comme nous pouvons voir des individus de niveau brevet concourir à côté d'individus de niveau BAC+5 au même concours, des individus ayant passé multitudes d'oraux/écrits dans leurs études à côté d'autres en ayant réalisé beaucoup moins...

Nous ne retrouverons jamais une égalité pure et parfaite car chaque personne est différente et dispose d'expériences qui lui sont propres.

Pour le coup le débat sur le faux externe me semble complètement hors de propos. A ce compte là, il faudrait se demander si ceux qui ont un parent à la DGFIP sont avantagés par exemple? Les étudiants dans les matières d'option à l'écrit auraient donc un avantage par rapport aux autres?
Le concours ne peut pas se faire avec une égalité parfaite car nous ne sommes pas égaux entre candidats, tout ce que le concours peut faire c'est nous traiter avec équité, chacun à la même chance au début.
J'aimerai rappeler qu'on a tous été externe à un moment ou un autre, on ne peut pas reprocher aux gens d'avoir une expérience. J'ai un peu l'impression que c'est un peu se chercher des excuses que de dire que les faux externes en sauraient plus que les autres pour l'oral. Toutes les infos que peut avoir un agent de la dgfip nécessaire pour l'oral sont des infos publiques, il n'y a donc aucune discrimination d’accès au savoir pour l'oral.