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préparation à l'oral contôleur des douanes BRANCHE SURVEILLANCE octobre 2020
- chtidunkerquois
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skywalker écrit:
chtidunkerquois écrit: Ouais mais le chtidunkerquois qui apparemment dit des bêtises a eu le concours d'agent et toi tu l'as eu ?
Et bravo chtidunkerquois pour ta réussite !!! ils en prenaient très peu chapeau
Vous pensez que les correcteurs des écrits du B externe auront pu corriger les copies à domicilie et pourront nous donner les résultats d'admissibilité comme prévu en Avril ? je crois que c'était le 14 mais pas sûr..
En général les correcteurs corrigent les copies chez eux pas au travail , après pour les résultats pas de nouvelles concernant un report éventuel, donc ils devraient être publiés le 14, du moins pour les opco...
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- reivilo
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Finalement, alors que j’aurais répondu que je fais mon taf, que je contrôle même si le supérieur me dis de laisser passer, maintenant je dirais que je respecte la consigne du supérieur parce que c’est un devoir, et que ce n’est ni le moment ni le lieu de chercher à avoir des explications. Par contre je précise que je chercherai à comprendre lors du débriefing, afin de mieux comprendre la démarche, et de m’informer des situations délicates pour l’avenir.
Je retiens aussi le conseil d’Ursowski de ne pas chercher à répondre ce qu’aimerait le jury mais d’être soit même et d’argumenter.
Malgré cela, je propose maintenant une nouvelle situation :
Vous êtes dans un aéroport, un individu agresse du monde et s’apprête à tuer une femme âgée, vous êtes à 2 mètres derrière lui. Que faites-vous ?
Dans un premier temps, je réponds que je cherche à sauver la femme mais sans l’utilisation de l’arme. Le jury insiste sur l’utilisation de l’arme alors que je suis à 2 m du gars, et que l’individu est sur le point de tuer la femme.
Qu’auriez vous répondu ?
Avons-nous le droit d’utiliser notre arme dans une situation comme celle-ci en dehors de notre mission ( mission de contrôle) , même si je suis en uniforme et dans mon lieu de travail ?
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- OPCO2020
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Je me demande si il est opportun d'évoquer l'affaire qui avait touché les plus hauts gradés des douanes
news.google.com/articles/CAIiEAzRhKKR9tz...r&gl=FR&ceid=FR%3Afr
Lors d'un oral ?
C'est pour le coup un bon exemple de comment on peut être confronté a des problèmes éthiques
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- chtidunkerquois
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OPCO2020 écrit: Salut a tous
Je me demande si il est opportun d'évoquer l'affaire qui avait touché les plus hauts gradés des douanes
news.google.com/articles/CAIiEAzRhKKR9tz...r&gl=FR&ceid=FR%3Afr
Lors d'un oral ?
C'est pour le coup un bon exemple de comment on peut être confronté a des problèmes éthiques
Ca dépend, est-ce que tu veux un 4/20 à l'oral ?
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reivilo écrit: Malgré cela, je propose maintenant une nouvelle situation :
Vous êtes dans un aéroport, un individu agresse du monde et s’apprête à tuer une femme âgée, vous êtes à 2 mètres derrière lui. Que faites-vous ?
Dans un premier temps, je réponds que je cherche à sauver la femme mais sans l’utilisation de l’arme. Le jury insiste sur l’utilisation de l’arme alors que je suis à 2 m du gars, et que l’individu est sur le point de tuer la femme.
Qu’auriez vous répondu ?
Avons-nous le droit d’utiliser notre arme dans une situation comme celle-ci en dehors de notre mission ( mission de contrôle) , même si je suis en uniforme et dans mon lieu de travail ?
La réponse suppose de connaitre les conditions de la légitime défense. Pour que celle-ci soit retenue l'attaque doit être réelle, actuelle, injuste et l'acte de défense nécessaire, proportionnel et volontaire.
Dans un premier temps je demanderais des précisions sur le degré de gravité de l'attaque. La légitime défense ça se joue sur des "détails", je vous conseille d'être prudent et de prendre votre temps pour formuler une réponse construite.
Hyptohèse 1 : l'agresseur tente d'arracher le sac de la victime : je ne tire pas ; je m'interpose évidemment mais je garde mon arme à l'étui, la riposte ne serait pas proportionnelle. On ne tue pas pour une simple atteinte aux biens.
Hypothèse 2 : l'agresseur frappe la victime avec ses poings : si je suis à 2 mètres de lui, je ne tire pas, j'ai tout aussi vite fait de plonger et de le ceinturer ; si je suis à 50 mètres je ne ferais de toute manière pas mouche et risque de toucher un passant.
Hypothèse 3 : l'agresseur, couteau en main, arme son bras pour l'abattre sur la victime, je tire. Avec une distance de 2 mètres seulement, c'est la seule situation que j'imagine jusitifiée pour un usage de l'arme.
Pour ce qui est du "reproche" de faire usage de son arme en dehors de sa mission de contrôle, je rappellerais au jury que la légitime défense, y compris pour autrui, est ouverte à n'importe quel citoyen et qu'il n'est donc pas nécessaire d'être investi d'une mission particulière pour intervenir. Plus encore, une abstention constituerait une non-assistance à personne en danger ; n'oublions pas que la devise de la Douane c'est "Agir pour protéger".
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