Concours Externe Contrôleur des Finances Publiques 2020 (Partie 4)

Repousser le concours à septembre et l'école à janvier c'est priver pendant 3-4 mois la DGFiP de 800 personnes, sans compter les chamboulement pour la promo suivante avec un potentiel décalage en cascade des formations, que fait on des formateurs de septembre à janvier? En plus rien ne nous assure qu'en septembre la situation sera réglée et que que la situation sanitaire sera meilleure.
Enfin pour la situation perso nous sommes plusieurs à ne pas pouvoir attendre janvier pour commencer la formation.
Pour l'instant ils n'ont pas l'air d'avoir envisager cette "solution" et tant mieux, de mon point de vue c'est la pire (si on exclut l’invraisemblable annulation pure et simple du concours avec 0 admis).
Pour ce qui est de la communication c'est un problème, ils pourraient très bien nous informer des différentes options envisagés, mais ce qui m'ennuie le plus c'est le manque de décision, alors que toutes les autres administrations (à ma connaissance) ont actés depuis plusieurs semaines sur le déroulement de leurs concours des prochains mois, nous sommes à 3 semaines de la date prévisionnelle et on ne sait absolument pas à quelle sauce on va être mangé.

Marseille écrit:

Yonji écrit: Pour ma part, ça fait 2 semaines, que je ne m'attends pas à avoir des nouvelles. Ca va bouger autour du 4 ou 5 juin à mon avis. Il y a encore d'autres sujets plus important à aborder que le concours B externe (campagne ir, retour de tous les agents, modalités de la prime, affectations des A). La semaine prochaine, les débats vont commencer, mais pour le moi, le 2 juin et les décisions qui seront prises par l'exécutif découlera de la suite du concours. Pour ma part, faut pas se prendre la tête, il faut un oral sur paris, éventuellement étalée sur 2 jours et un aménagement des épreuves : Par exemple tu es convoqué à 9h20, tu passes ton oral direct à 9h25, et tu sors à 9h50. L'important est d'éviter l'attente et que les candidats ne se croisent pas entre eux, et que tout soit synchronisé. Je pense que c'est largement réalisable de repenser l'organisation de cet oral, tout en respectant les gestes barrières et la distanciation sociale.

Faire un oral en régions est une bonne idée, mais risque de coûter cher et d'avoir au final les mêmes contraintes que l'oral à paris.

Enfin, l'oral en visio, c'est aussi une bonne idée, à condition qu'il n'y ait pas trop de problèmes techniques. Si ça se déroule bien, ce sera la meilleure décision, sinon si y a plein de problèmes techniques de connexion ou logistiques, ça risque d'être un vrai casse-tête.

En ce qui me concerne, j'optais à la base pour un oral en septembre, et une rentrée à l'ENFIP qui serait décalé à janvier 2021. On verra bien ce que l'avenir nous réservera

Et si on est pas admis on révise quand le concours 2021?

Bah grave. Ils vont pas décaler la scolarité en 2021. Sinon tous les concours B des années à venir seront décalés aussi. Et Octobre c'est pas demain non plus y'a grave le temps. En juillet la liste des admis sera sortie. Et ils ont déjà toutes les pièces justificatives quasiment.

Ils ne vont pas décaler toutes les scolarités et les concours à venir pour un oral qui pose problème, c’est impensable.
Après c’est possible que le début de la formation B se fasse à distance.
Là ils sont plus en mode : ben on aura tout essayé pour faire passer l’oral mais finalement c’est pas possible.

fourmi rouge écrit: Repousser le concours à septembre et l'école à janvier c'est priver pendant 3-4 mois la DGFiP de 800 personnes, sans compter les chamboulement pour la promo suivante avec un potentiel décalage en cascade des formations, que fait on des formateurs de septembre à janvier? En plus rien ne nous assure qu'en septembre la situation sera réglée et que que la situation sanitaire sera meilleure.
Enfin pour la situation perso nous sommes plusieurs à ne pas pouvoir attendre janvier pour commencer la formation.
Pour l'instant ils n'ont pas l'air d'avoir envisager cette "solution" et tant mieux, de mon point de vue c'est la pire (si on exclut l’invraisemblable annulation pure et simple du concours avec 0 admis).
Pour ce qui est de la communication c'est un problème, ils pourraient très bien nous informer des différentes options envisagés, mais ce qui m'ennuie le plus c'est le manque de décision, alors que toutes les autres administrations (à ma connaissance) ont actés depuis plusieurs semaines sur le déroulement de leurs concours des prochains mois, nous sommes à 3 semaines de la date prévisionnelle et on ne sait absolument pas à quelle sauce on va être mangé.

Après sinon l'annulation des concours B (externe, CIN) et des concours A, n'est pas à exclure, mais ce serait la plus terrible. Mais dans un certain sens, il n'y aurait plus d'ENFIP à faire, des économies de faite et repartir sur 2021 ou 2022 sur de bonnes bases. Ce qui nous attend dans l'avenir est sombre, le nombre de fonctionnaires va se réduire comme peau de chagrin très rapidement.

Yonji écrit:

fourmi rouge écrit: Repousser le concours à septembre et l'école à janvier c'est priver pendant 3-4 mois la DGFiP de 800 personnes, sans compter les chamboulement pour la promo suivante avec un potentiel décalage en cascade des formations, que fait on des formateurs de septembre à janvier? En plus rien ne nous assure qu'en septembre la situation sera réglée et que que la situation sanitaire sera meilleure.
Enfin pour la situation perso nous sommes plusieurs à ne pas pouvoir attendre janvier pour commencer la formation.
Pour l'instant ils n'ont pas l'air d'avoir envisager cette "solution" et tant mieux, de mon point de vue c'est la pire (si on exclut l’invraisemblable annulation pure et simple du concours avec 0 admis).
Pour ce qui est de la communication c'est un problème, ils pourraient très bien nous informer des différentes options envisagés, mais ce qui m'ennuie le plus c'est le manque de décision, alors que toutes les autres administrations (à ma connaissance) ont actés depuis plusieurs semaines sur le déroulement de leurs concours des prochains mois, nous sommes à 3 semaines de la date prévisionnelle et on ne sait absolument pas à quelle sauce on va être mangé.

Après sinon l'annulation des concours B (externe, CIN) et des concours A, n'est pas à exclure, mais ce serait la plus terrible. Mais dans un certain sens, il n'y aurait plus d'ENFIP à faire, des économies de faite et repartir sur 2021 ou 2022 sur de bonnes bases. Ce qui nous attend dans l'avenir est sombre, le nombre de fonctionnaires va se réduire comme peau de chagrin très rapidement.

Là ils déclenchent la 3e guerre mondiale et puis il y a énormément de départs en retraite et beaucoup de postes vacants, c’est faisable bien sûr mais inenvisageable.