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Admission AAFIP 2018-demandes diverses...page 1
- ZIGOT
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Nous venons d'apprendre pour certains d'entre nous que nous irions directement en poste au 11 juin et non pas à l' ENFIP, comment aurons nous connaissance de toutes ces informations qui semblent capitales, on pourra pas attendre Octobre ou Janvier prochain ! ! !
Surtout que notre délais d'installation entre fin mai et le 11 juin risque vraiment d'être très court.
Merci pour vos réponses, car je vous avoue être vraiment un peu perdue, je m'étais préparée comme vous tous à partir mais après mes 6 semaines de stage
Admise Concours AAFIP (01/2018)
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- argentine38
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Bobette35 écrit: [\quote]Quand tu as 18 ans dans une société, l'indemnité n'est pas la même
évidemment , mais bon quand tu as été reçue au concours , tu as, si je comprends bien, décidé de rejoindre l'administration.
donc , à mon goût, il faut assumer ses choix, non?[/quote]
Ah mais j'assume totalement mon choix d'appartenir à cette belle administration, et avant d'exprimer ton goût ou de te faire des idées sur une personne, il faudrait comprendre que ma question est technique, déontologique et juridique.
Est ce que l'administration accepte un candidat dont la rupture conventionnelle se termine quelques jours après son entrée en formation ?
Dans le privé ça peut arriver, après les 15 premiers jours (ou la rupture peut être rompu par l'employeur ou l'employé), il est très rare que l'inspection du travail (dans son délai de 15 jours) refuse l'homologation de la rupture. On peut dire qu'après les 15 premiers jours, il y a volonté non équivoque de rompre le contrat par l'employeur et l'employé.
Il est stipulé d'un point de vue juridique qu'il faut être libre de tout emploi pour intégrer la fonction publique, cependant est-ce que cette règle est au sens strict ? Les membres du forum auraient-ils connaissance d'exceptions ?
Là était ma question !!!
Après, mon entreprise et le code du travail, ça fait deux, j'ai d'autres possibilités, dont la démission, de rompre mon contrat dans les deux mois qu'il me reste, J'avais pensé à la rupture conventionnelle car j'essaye de trouver la solution la moins coûteuse pour l'entreprise et la moins longue pour moi d'un point de vue judiciaire, car aux prud'hommes ça me rapporterait plus mais je n'aime pas les procès et je trouve qu'il est plus sain de s'entendre. Après, je ne vais pas m'étendre plus sur mon cas, je pense que ma rupture sera accepté, c'est juste le délai de procédure qui pourrait être litigieux auprès de l'administration et si quelqu'un à entendu des exceptions que l'administration aurait pu faire, je suis tout ouïe.
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- Moelo76
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argentine38 écrit:
Bobette35 écrit: [\quote]Quand tu as 18 ans dans une société, l'indemnité n'est pas la même
évidemment , mais bon quand tu as été reçue au concours , tu as, si je comprends bien, décidé de rejoindre l'administration.
donc , à mon goût, il faut assumer ses choix, non?
Ah mais j'assume totalement mon choix d'appartenir à cette belle administration, et avant d'exprimer ton goût ou de te faire des idées sur une personne, il faudrait comprendre que ma question est technique, déontologique et juridique.
Est ce que l'administration accepte un candidat dont la rupture conventionnelle se termine quelques jours après son entrée en formation ?
Dans le privé ça peut arriver, après les 15 premiers jours (ou la rupture peut être rompu par l'employeur ou l'employé), il est très rare que l'inspection du travail (dans son délai de 15 jours) refuse l'homologation de la rupture. On peut dire qu'après les 15 premiers jours, il y a volonté non équivoque de rompre le contrat par l'employeur et l'employé.
Il est stipulé d'un point de vue juridique qu'il faut être libre de tout emploi pour intégrer la fonction publique, cependant est-ce que cette règle est au sens strict ? Les membres du forum auraient-ils connaissance d'exceptions ?
Là était ma question !!!
Après, mon entreprise et le code du travail, ça fait deux, j'ai d'autres possibilités, dont la démission, de rompre mon contrat dans les deux mois qu'il me reste, J'avais pensé à la rupture conventionnelle car j'essaye de trouver la solution la moins coûteuse pour l'entreprise et la moins longue pour moi d'un point de vue judiciaire, car aux prud'hommes ça me rapporterait plus mais je n'aime pas les procès et je trouve qu'il est plus sain de s'entendre. Après, je ne vais pas m'étendre plus sur mon cas, je pense que ma rupture sera accepté, c'est juste le délai de procédure qui pourrait être litigieux auprès de l'administration et si quelqu'un à entendu des exceptions que l'administration aurait pu faire, je suis tout ouïe.[/quote]
Je te fais part de mon cas, je suis comme toi j’ai de l’ancienneté chez mon employeur et je dois intégrer l’Enfip le 11 juin. On doit être totalement libre de notre employeur à notre entrée en formation d’apres La personne qui a reçu mon dossier médical en février. De ce fait j’ai proposé cela à mon employeur et d’après les délais en vigueur pour une rupture conventionnelle c’est jouable mais il ne faut pas tarder. Je pense effectivement que nous avons pris la décision de passer le concours mais quand on a beaucoup d’ancienneté si on peut bénéficier des indemnités liées à cela et en même temps partir en bon terme avec notre employeur c’est super, ce n’est que mon point de vue. Si cela n’avait pas été possible j’aurais démissionné car la priorité reste effectivement notre entrée a la dgfip.
J’espère t’avoir éclairé un peu. Bon courage à toi
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- chtidunkerquois
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ZIGOT écrit: Mais vraiment, pour toutes les questions matérielles : logement, mutuelle, premiers salaires etc : vous aurez toutes les infos durant les 6 semaines d'initiation enfip. Les brochures des syndicats distribuées sur place sont précieuses : tout y est dit sur les grilles salariales, les primes d'installation, les aides au logement, au transport, les remboursements de frais de transport durant le stage initial, après le stage initial (parce que administrativement vous ne dépendrez de votre direction et de son enveloppe budgétaire qu'après les 6semaines) , etc etc etc.
Nous venons d'apprendre pour certains d'entre nous que nous irions directement en poste au 11 juin et non pas à l' ENFIP, comment aurons nous connaissance de toutes ces informations qui semblent capitales, on pourra pas attendre Octobre ou Janvier prochain ! ! !
Surtout que notre délais d'installation entre fin mai et le 11 juin risque vraiment d'être très court.
Merci pour vos réponses, car je vous avoue être vraiment un peu perdue, je m'étais préparée comme vous tous à partir mais après mes 6 semaines de stage[/quote]
T'as un truc qui s'appelle Ulysse (et il revient ^^) ou tu auras toutes les infos et puis aussi des collègues...
Agent de constatation des Douanes branche Opération Commerciale
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- Karmanoui
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Moelo76 écrit:
argentine38 écrit:
Bobette35 écrit: [\quote]Quand tu as 18 ans dans une société, l'indemnité n'est pas la même
évidemment , mais bon quand tu as été reçue au concours , tu as, si je comprends bien, décidé de rejoindre l'administration.
donc , à mon goût, il faut assumer ses choix, non?
Ah mais j'assume totalement mon choix d'appartenir à cette belle administration, et avant d'exprimer ton goût ou de te faire des idées sur une personne, il faudrait comprendre que ma question est technique, déontologique et juridique.
Est ce que l'administration accepte un candidat dont la rupture conventionnelle se termine quelques jours après son entrée en formation ?
Dans le privé ça peut arriver, après les 15 premiers jours (ou la rupture peut être rompu par l'employeur ou l'employé), il est très rare que l'inspection du travail (dans son délai de 15 jours) refuse l'homologation de la rupture. On peut dire qu'après les 15 premiers jours, il y a volonté non équivoque de rompre le contrat par l'employeur et l'employé.
Il est stipulé d'un point de vue juridique qu'il faut être libre de tout emploi pour intégrer la fonction publique, cependant est-ce que cette règle est au sens strict ? Les membres du forum auraient-ils connaissance d'exceptions ?
Là était ma question !!!
Après, mon entreprise et le code du travail, ça fait deux, j'ai d'autres possibilités, dont la démission, de rompre mon contrat dans les deux mois qu'il me reste, J'avais pensé à la rupture conventionnelle car j'essaye de trouver la solution la moins coûteuse pour l'entreprise et la moins longue pour moi d'un point de vue judiciaire, car aux prud'hommes ça me rapporterait plus mais je n'aime pas les procès et je trouve qu'il est plus sain de s'entendre. Après, je ne vais pas m'étendre plus sur mon cas, je pense que ma rupture sera accepté, c'est juste le délai de procédure qui pourrait être litigieux auprès de l'administration et si quelqu'un à entendu des exceptions que l'administration aurait pu faire, je suis tout ouïe.
Je te fais part de mon cas, je suis comme toi j’ai de l’ancienneté chez mon employeur et je dois intégrer l’Enfip le 11 juin. On doit être totalement libre de notre employeur à notre entrée en formation d’apres La personne qui a reçu mon dossier médical en février. De ce fait j’ai proposé cela à mon employeur et d’après les délais en vigueur pour une rupture conventionnelle c’est jouable mais il ne faut pas tarder. Je pense effectivement que nous avons pris la décision de passer le concours mais quand on a beaucoup d’ancienneté si on peut bénéficier des indemnités liées à cela et en même temps partir en bon terme avec notre employeur c’est super, ce n’est que mon point de vue. Si cela n’avait pas été possible j’aurais démissionné car la priorité reste effectivement notre entrée a la dgfip.
J’espère t’avoir éclairé un peu. Bon courage à toi[/quote]
Si tu veux une rupture conventionnelle, ton employeur peut te le refuser . Moi c'était un autre cas , l'employeur refusait de me donner mon matériel de sécurité en bon état l'inspection avait voulu négocier pour moi une rupture mais j'ai refusé et après constatation du médecin du travail et constat de l'inspecteur du travail , j'ai manifesté mon droit de retrait et une prise d'acte par conséquent, j'ai dû l'emmener en référé pour obtenir mes documents de fin de contrat qu'il a refusé de me donner . Par conséquent en application du jugement du conseil des prud'hommes le jex a ordonné une pénalité d'une quinzaine de milliers d'euros qu'il a refusé à nouveau de les payer . Mon avocat à acté un huissier pour une exécution forcée. Il a mille façons d'obtenir ses documents tant que c'est dans la légalité.
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